Il faut suspendre l’injection génique à ARNm contre la COVID: lettre ouverte du Dr Malhotra au GMC

Quand on n’a pas d’argument solide contre un message, on détruit le messager. C’est ce qui est arrivé au Dr Aseem Malhotra. Un des nombreux médecins qui se sont élevés contre la folie de l’imposition de l’injection génique contre la COVID.

MAIS …

« Sunlight is the most powerful disinfectant for malodorous health policy. »
En français: La lumière du soleil est le désinfectant le plus puissant pour les politiques de santé malodorantes

Le Dr Assem Malhotra

Le Dr Malhotra est un cardiologue anglais ayant exercé dans plusieurs hôpitaux anglais. Lors de la création de «Action on Sugar» en 2014, il en est devenu le premier directeur scientifique. Il est un ancien consultant clinique associé à l’Academy of Medical Royal Colleges.

En 2015, il a été nommé administrateur du Fonds du Roi, the King’s Fund en anglais, chargé de collecter des fonds pour les hôpitaux bénévoles de Londres. Le travail du Fonds a évolué au fil du temps en réponse aux besoins changeants de la population, mais leur mission, améliorer la santé et les soins pour tous, a perduré; et le mandat du Dr Malhotra a été renouvelé pour trois ans en 2018.

Il a fait campagne pour de multiples questions de santé, et s’est souvent trouvé en contradiction avec la pensée dominante.

En janvier 2023, un groupe de médecins désirant rester anonymes, dont certains médecins généralistes, a demandé au General Medical Council (GMC) d’enquêter sur l’aptitude d’Aseem Malhotra à exercer, en raison de ce qu’ils affirment être sa « promotion très médiatisée de la désinformation sur les vaccins à ARNm Covid-19 ». Le 2 juin 2023, les médecins ont entamé la première étape formelle de la procédure judiciaire contre le GMC en lui envoyant la lettre officielle du protocole de pré-action. Cette lettre stipulait que « nous intentons cette action en justice parce que nous pensons que le GMC, en tant que régulateur officiel des normes professionnelles des médecins, a le devoir d’agir dans cette affaire ».

Le GMC a demandé des comptes au Dr Malhotra, qui leur répond dans une lettre ouverte. J’en ai tiré une traduction française grâce à l’application de traduction deepl. Elle est disponible au téléchargement ici.

Le GMC

Le General Medical Council (GMC) est un organisme public qui tient le registre officiel des médecins praticiens au Royaume-Uni. Sa principale responsabilité est de « protéger, promouvoir et maintenir la santé et la sécurité du public » en contrôlant l’inscription au registre et en suspendant ou en radiant les membres si nécessaire. Il fixe également les normes applicables aux écoles de médecine du Royaume-Uni. L’inscription au registre confère d’importants privilèges en vertu de la partie VI de la loi sur la médecine de 1983. Toute fausse déclaration d’adhésion constitue un délit pénal. Le GMC est financé par les cotisations de ses membres et est devenu une organisation caritative en 2001.

Quelques extraits de la lettre ouverte

La position du Dr Malhotra sur le vaccin COVID-19 est restée claire : les vaccins COVID-19 n’ont pas fait la preuve d’une sécurité suffisante dans des études impartiales et présentent des preuves évidentes de nocivité pour certaines personnes.

Les obstacles, il y en a deux essentiels, à une image plus complète de la vérité concernant les vaccins COVID-19 sont principalement d’ordre psychologique, et non intellectuel.
Le premier obstacle psychologique à la vérité est la peur. Dans un état de peur, les êtres humains, y compris les médecins, sont moins capables de s’engager dans une réflexion critique, composante fondamentale de la science.
Le deuxième obstacle psychologique est l’aveuglement volontaire, consistant à fermer les yeux sur la vérité afin de se sentir en sécurité, d’éviter les conflits, de réduire l’anxiété ou de protéger leur prestige et leur ego fragile.
Le système politique, l’establishment médical et les médias traditionnels continuent d’être volontairement aveugles à ce qui est peut-être le produit médical le plus horrible à être injecté à des centaines de millions de personnes dans le monde.
Le problème est institutionnel et doit être résolu.

Une combinaison de données cliniques, mécanistes, d’essais contrôlés randomisés, d’observation, de pharmacovigilance et d’autopsie a permis de confirmer l’existence d’effets nocifs graves dus au vaccin. Dans ces études, la majorité des décès survenus dans les deux semaines suivant l’administration du vaccin étaient directement imputables au produit ARNm. Il existe des preuves indéniables que le vaccin COVID-19 présente des risques sérieux pour au moins certaines personnes.

Une nouvelle analyse (voir sur pubmed) des essais cliniques randomisés originaux de Pfizer et Moderna par des scientifiques indépendants, publiée dans la revue Vaccine, a révélé qu’il était plus probable de souffrir d’un effet indésirable grave (par exemple, une réaction qui change la vie, une invalidité ou une hospitalisation) en prenant le vaccin que d’être hospitalisé avec la COVID. Le taux d’effets indésirables graves à court terme était de 1 sur 800.

Deux des plus grands experts mondiaux en oncologie (le professeur Angus Dalgliesh) et en immunologie (le professeur Robert Clancy) estiment qu’il existe des preuves mécanistiques et cliniques solides que les vaccins ARNm Covid provoquent le cancer par différentes voies, notamment l’immunosuppression prolongée et la contamination par l’ADN.

En plus d’une liste de 21 références, il propose une voie à suivre en 5 points:

  1. SUSPENSION IMMÉDIATE DES PRODUITS VACCINS À ARNm COVID-19
  2. UNE REEVALUATION COMPLETE DE LA SECURITE ET DE L’EFFICACITE DE TOUS LES VACCINS COVID-19
  3. LA RECONNAISSANCE ET LE SOUTIEN IMMÉDIATS DES PERSONNES BLESSÉES PAR LES VACCINS
  4. LA RESTAURATION DES PRINCIPES ÉTHIQUES ABANDONNÉS PENDANT L’ÈRE COVID-19
  5. S’ATTAQUER AUX CAUSES PROFONDES DE NOTRE SITUATION ACTUELLE

Un grand nombre de médecins a signé sa pétition concernant cette position.

Son entretien (en anglais) avec le Dr John Campbell se trouve sur Youtube.

J’insiste encore pour que chacun prenne la peine de s’informer et de considérer les arguments très solides du Dr Malhotra. Téléchargez la traduction française de sa lettre ouverte. Ou consultez-la dans sa version originale.

Lueur d’espoir: le rapport du Sous-Comité sur la pandémie de coronavirus du Congrès des États-Unis

De janvier 2020 à janvier 2024, le fait que très peu de personnes de mon environnement partageaient mon point de vue sur la façon dont les autorités géraient la crise sanitaire me donnait la sensation de gêner aux entournures, d’être complotiste comme on dit, mais mon entourage est très bienveillant et ne m’a rien dit de déplaisant. Néanmoins, je veillais à échanger assez peu sur ce sujet. Malgré cet isolement personnel, qui me gênait peu à vrai dire, j’ai constaté, grâce aux réseaux sociaux, Youtube en particulier, que les « récalcitrants » comme moi n’étaient pas si peu nombreux, même si nous étions très très loin d’être majoritaires. Fin 2023, j’ai écrit un petit article reprenant les quelques résistants que j’avais découverts au fil du temps, «COVID-19: petit éclairage sur des actions de résistance à la pensée unique». Et le tout premier article que j’ai écrit sur cette crise sanitaire date du 11/09/2021: «2021: l’année de la folie collective».

Bien que ces résistants soient de plus en plus nombreux à être entendus dans les médias indépendants, le dogmatisme dominant conserve sa mainmise sur la pensée collective, surtout dans nos contrées européennes.

Mais une lueur pointe cependant, du côté des États-Unis. En effet, en février 2023, la Chambre des Représentants du Congrès des USA a désigné un Sous-Comité sur la pandémie de coronavirus. Elle a terminé et envoyé son rapport au Congrès, ce 4/12/2024.

Extrait de la lettre de Brad Wenstrup, D.P.M., adressée au 118e congrès du Congrès des États-Unis, le 04/12/2024:

«Since February 2023, the subcommittee sought to produce a full after-action report to provide a road map of how we, in Congress, the Executive, and the private sector may better prepare for and respond to future pandemics. It sent more than 100 investigative letters, conducted 38 transcribed interviews or depositions, held 25 hearings or meetings, and reviwed more than one million pages of documents from dozens of custodians. This work looks back on many events, comments, guidances, and other actions, to look forward. This is the single most through review of the pandemic conducted to date.»

En voici la traduction.

«Depuis février 2023, le sous-comité a cherché à produire un rapport complet sur les mesures prises après la pandémie afin de fournir une feuille de route sur la façon dont nous, au Congrès, l’exécutif et le secteur privé, pouvons mieux nous préparer aux pandémies futures et y répondre. Il a envoyé plus de 100 lettres d’enquête, mené 38 interrogatoires ou dépositions transcrites, tenu 25 audiences ou réunions et relu plus d’un million de pages de documents provenant de dizaines de dépositaires. Ce travail se penche sur de nombreux événements, commentaires, orientations et autres actions pour regarder vers l’avenir. Il s’agit de la plus grande étude sur la pandémie réalisée à ce jour.»

Le rapport est accessible sur https://oversight.house.gov/wp-content/uploads/2024/12/2024.12.04-SSCP-FINAL-REPORT-ANS.pdf

Les membres et le personnel ont exposé la corruption de haut niveau dans le système de santé publique américain, confirmé l’origine la plus probable de la pandémie, tenu les mauvais acteurs du COVID-19 publiquement responsables, favorisé un consensus bipartisan sur des questions consécutives de l’ère pandémique, et plus encore. Ce rapport final de 520 pages détaille toutes les constatations de l’enquête du sous-comité.

Voici une liste de quelques titres de chapitres clés du document (traduits)

  • SARS-CoV-2, le virus qui cause la COVID-19, est probablement apparu à la suite d’un accident lié au laboratoire ou à la recherche
  • Les échecs d’EcoHealth Alliance, Inc (à propos de la recherche sur le gain-of-fonction facilité à l’Institut de virologie de Wuhan)
  • L’efficacité, la transparence et l’efficience de l’utilisation des fonds publics et des programmes d’aide pour lutter contre la pandémie de coronavirus, y compris les rapports de gaspillage, de fraude ou d’abus
  • L’exigence de six pieds de distance sociale n’était pas soutenue par la science
  • Les masques et les mandats de masque n’ont pas permis de contrôler la propagation de la COVID-19
  • Les centres américains de lutte contre les maladies et de prévention se sont appuyés sur des études erronées pour appuyer l’émission de mandats de masques
  • Masquer de force les jeunes enfants âgés de deux ans et plus, causant plus de mal que de bien
  • Les confinements non scientifiques liés à la COVID-19 ont causé plus de tort que de bien
  • L’ordre du 25 mars de l’ancien gouverneur de New York, Andrew Cuomo, était une faute médicale et la chambre exécutive de New York a tenté de le couvrir
  • Désinformation sur la COVID-19 perpétrée par le gouvernement
  • Les responsables de la santé publique ont ignoré l’immunité naturelle, malgré son efficacité et sa durabilité prouvées
  • Les mandats de vaccination n’étaient pas appuyés par la science et causaient plus de mal que de bien
  • Le ministère de la Santé et des Services sociaux du gouvernement Biden a fait obstruction à l’enquête du sous-comité spécial
  • EcoHealth Alliance, Inc. et le Dr Peter Daszak ont fait obstruction à l’enquête du sous-comité et induit le public en erreur
  • Le Dr David Morens a probablement détruit des preuves, utilisé un courriel personnel pour se cacher de la responsabilité et agi comme s’il n’était pas un employé fédéral
  • Le gouverneur de New York, Kathy Hochul, a refusé de communiquer des documents clés au sous-comité de sélection en raison d’une demande de privilège

Avec ce rapport, véritable bombe dans le paysage marécageux actuel, et la nomination de Robert Kennedy Jr à la santé aux USA, je crois en un avenir meilleur. Sans compter sur l’initiative courageuse de mon compatriote Frédéric Baldan contre Ursula Von der Leyen, par son action au pénal ici à Liège. J’espère que l’audience de ce 6/12/2024 débouchera sur un acte de courage de notre Justice belge.

NB: en soutien à cette publication, je désire ajouter le lien à l’article du Professeur Bernard Rentier, Recteur émérite de l’Université de Liège, du 8/12/2024: «Le COVID-19 sous le microscope du Congrès des U.S.A. : 520 pages pour autopsier une pandémie»